Traducteur: Pierre Girard
Titre VO: The Help
Éditeur: Babel
1ère édition VO: 2009 - VF: 2010
Présente édition: 2012
599 pages
9,70€
Roman historique
Quatrième de couverture:
Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noires qui font le
ménage, la cuisine, et qui s'occupent des enfants. On est en 1962, les
lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a
appris à tenir sa langue. L'insolente Minny, sa meilleure amie, vient
tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s'enveniment, elle devra
chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s'exiler dans
un autre Etat, comme Constantine, qu'on n'a plus revue ici depuis que,
pour des raisons inavouables, les Phelan l'ont congédiée.
Mais Skeeter, la fille des Phelan, n'est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s'acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l'a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même laisser un mot.
Une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires. Personne ne croirait à leur amitié; moins encore la toléreraient. Pourtant, poussées par une sourde envie de changer les choses, malgré la peur, elles vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.
Mais Skeeter, la fille des Phelan, n'est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s'acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l'a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même laisser un mot.
Une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires. Personne ne croirait à leur amitié; moins encore la toléreraient. Pourtant, poussées par une sourde envie de changer les choses, malgré la peur, elles vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.
Mon avis:
Cela faisait 2ans que j'avais ce livre sur la table de chevet. Le tapage médiatique qu'il y a eu autour du livre lors de la sortie du film m'avait rebuté. Mais nombre de mes amis me le conseillaient, alors je le gardais, m'interdisant de voir le film, dans l'espoir de trouver l'envie de l'ouvrir. Finalement, aussitôt ouvert, je l'ai dévoré!